Some passages of the Bible tell the rich to weep and wail because of their wealth. But these verses can mislead Christians whose attitude to wealth is not deeply rooted in the Christian church’s 2,000-year-long balanced view, according to a new, French-language article published on the Acton Institute’s Religion & Liberty Transatlantic website.
This article is part of the Acton Institute’s ongoing effort to reach the 275 million people in the world who speak French as a native language.
The commentary – “Pauvretés, inégalités et redistribution” (“Poverty, inequality, and redistribution”) – compounds Christian and economic insights, combining the spiritual teachings of the Apostle James and Leo XIII with financial realities gleaned from World Bank data on life expectancy, infant mortality, and a host of other issues. The author of the nearly comprehensive article, Etienne Chaumeton, is a market research manager in an international company and a member of the Association of Catholic Economists (Association des économistes catholiques).
“La doctrine sociale de l’Eglise comporte plusieurs clefs de voûte qui sont des valeurs sûres sur lesquelles nous pouvons appuyer notre réflexion,” he writes. These include “la dignité des personnes, la destination universelle des biens, l’option (ou l’amour) préférentielle pour les pauvres, le respect de la propriété privée, l’importance de l’accès au travail, la subsidiarité, le rôle des corps intermédiaires et enfin la recherche d’une paix fondée sur la justice.”
He makes a spirited defense of free trade:
Le libre échange est le meilleur moyen de répartir les richesses car il permet à chacun d’exprimer ce qu’il souhaite acquérir et ce qu’il souhaite vendre. Echanger permet de répondre à ses besoins et à ceux des autres, dans le respect du droit de propriété et de la liberté de chacun.
L’échange, s’il est libre, est toujours créateur de richesses. Les personnes éprouvent le besoin d’échanger car nos productions, nos capacités et nos désirs sont différents, sans quoi il n’y aurait pas d’échange. C’est justement parce que nos richesses ne sont pas similaires, homogènes et immuables que nous échangeons.
His detailed, probing look at the issue ties together the Christian faith (“the evidence of things not seen”) and observable economic truths:
L’Eglise encourage l’existence de corps intermédiaires entre l’Etat et l’individu, de même que la subsidiarité, afin d’être au plus proche des besoins des personnes et d’être plus efficace et réactif dans les actions à mener. A cet égard, les dons sont largement pratiqués. D’après une étude de la Fondation de France les Français ont donné 7,5 milliards d’euros en 2015 à des organismes via des dons en numéraire, en nature ou via des legs. Cette somme n’inclut pas le bénévolat et les dons entre personnes, qu’ils soient en numéraire ou en nature.
L’économie libre amène inévitablement des activités économiques à croître pendant que d’autres déclinent. Ceci constitue une redistribution des richesses. Les faillites ne sont jamais souhaitées ni agréables à vivre, mais elles sont salutaires pour l’économie, elles permettent de transférer des moyens de productions depuis des entreprises qui gaspillent des richesses vers des entreprises qui en créent. L’évolution de l’économie et la concurrence font qu’aucune entreprise, ni aucune famille ne reste durablement la plus prospère.
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Further reading:
The Acton Institute’s transatlantic website publishes its first article in French
The Acton Institute spreads word of the Laffer Curve to France
New French language article: « Bonne nouvelle, même les socialistes aiment le marché libre! »
French-language readers of transatlantic learn of free-market environmentalism
New French language translation on Catholicism and communism on Acton’s transatlantic website
(Photo credit: Public domain.)